if i die young, bury me in satin

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Partie une ~ l’origine de ma naissance
Je suis née à Londres dans les années 80. On ne peut pas dire que ma naissance fut très joyeuse. Mes parents ne voulaient pas d’enfants, j’étais un accident. Ils étaient beaucoup trop occupés par leur carrière respective pour avoir un enfant qui gâcherait tout. Ma mère ne pouvant plus avorter quand elle avait découvert que j’étais là, avait mené la grossesse à terme et s’était empressée de me trouver des parents adoptifs. Aujourd’hui je les en remercie même si j’aimerais beaucoup les rencontrer et surtout savoir pourquoi ils m’ont rejeté comme ça, carrière ou non ! Je suis donc une fille adoptée mais qui heureusement n’a pas connue les orphelinats et tous ces problèmes que peuvent avoir les orphelins à trouver une bonne famille qui les traitera convenablement. Je suis tombée sur des parents en or. Ils ne pouvaient pas avoir d’enfant alors je vous laisse imaginer leur tête quand ma mère est venue les rencontrer et leur a fait savoir qu’elle était prête à leur offrir un enfant sur un plateau pour seulement signer un contrat de confidentialité contenant un texte qui leur interdisait de dire à qui que ce soit de qui j’étais la fille. C’était surement les seuls à être heureux de ma venue en ce monde. Ce sont eux qui m'ont donné le prénom de Nola.

Partie deux ~ mon enfance passée en France
C’est à l’âge de cinq ans que je quittais Londres pour Genève. Mes parents étaient seulement de passage dans la capitale pour le travail de mon père. Depuis qu’ils m’avaient eu ils avaient décidé de retourné vivre à Genève pensant m’offrir une meilleure vie. J’étais triste mais pas tant que ça, je quittais mes copines mais je savais que je les retrouverais un jour ou l’autre. Je m’habituais très vite à la vie ici, j’apprenais à parler encore mieux le français mes parents me parlant souvent en anglais pensant qu’il était important que je garde une trace de mon passé, de ma ville d’origine et sachant surtout que l’anglais était une langue très importante pour mon futur professionnel. J’étais donc bilingue bien assez tôt. Pour ce qui est du reste j’étais une petite fille comme les autres. Je jouais à la marelle, aux poupées Barbie et adorais le roller. J’en faisais d’ailleurs toujours avec mon père quand il était présent et non pas en déplacement. Mais malgré le fait qu’il soit à des milliers de kilomètres, j’avais toujours cette impression qu’il était tout près. Il passait son temps à m’appeler et à m’envoyer des cadeaux de tous les endroits qu’il visitait. Je me promettais qu’un jour je ferais comme lui et que je le suivrais partout dans le monde.

Partie trois ~ mon adolescence, retour à Londres
Je retournais à Londres l’année de mes 13 ans. Je voulais m’imprégner de l’ambiance de Londres. Je voulais voir l’endroit où j’étais né. Je n’en avais aucuns souvenirs. J’étais beaucoup trop petit pour m’en souvenir. Je rencontrais un jour ma mère biologique sans même le savoir. C’était dans les rues de Londres. Je lui étais rentré dedans sans le faire vraiment exprès. Je l’avais aidée à ramasser ses affaires tombées au sol. Je l’entendais pester contre moi. Quand nos yeux se croisèrent elle fit des yeux de la taille d’une balle de ping-pong, m’arracha ses affaires des mains et s’enfuis en courant. Je ne compris que plus tard pourquoi elle avait réagis comme ça et je remerciais le ciel de m’avoir offert de meilleurs parents que cette femme aigrie. Je savais que mes parents n’étaient pas mes parents biologiques. Ils ne me l’avaient jamais caché. Nous nous disions toujours tout. D’ailleurs quand je leur avais annoncé que je voulais partir pour Londres ils avaient eu peur. Ce que je compris tout de suite. Mais je n’y allais pas pour rencontrer mes parents biologiques j’y allais juste pour Londres lui-même. J’étais fan de cette ville et savoir que j’en venais me faisais encore plus plaisir. Je passais mes années collèges et lycées là-bas. Je me faisais plein d’amis, je me sentais à l’aise, chez moi mais mes parents me manquaient. Je les voyais seulement pendant les vacances et il arrivait même parfois que je ne vois pas mon père à cause de ses voyages d’affaires. J’avais l’impression de m’éloigner d’eux et je savais qu’ils en souffraient. Sinon je faisais comme tous les adolescents. La fête, beaucoup la fête ! Les sorties à la plage où nous faisions souvent que jouer sur le sable et pique-niquer, les journées Sherlock Holmes dans les rues de Londres où nous nous imaginions des histoires plus farfelues les unes que les autres. J’étais chez moi. Mais je repartis pour Genève l’année de mes 18 ans après avoir fini le lycée et ayant obtenu mon diplôme.

Partie quatre~ retour à Genève
Mes parents étaient vraiment très contents de me revoir. Ils pensaient que j'avais trouvé ma place auprès de ma famille biologique mais cela n'avait pas vraiment été le cas. Je n'avais même pas cherché à les contacter de toute manière, ces gens ne m'intéressaient pas. Arrivé à Genève je décidais tout de suite de me trouver un boulot. Je me fis très vite engagée dans un bar de la ville. J'aimais ce bar bien avant d'en être partit. J'avais toujours rêvé de mettre les pieds à l'intérieur du haut de mes douze pommes. Et voilà que maintenant j'y étais et en tant que barwoman. Oui, des gens penseront surement que ce n'est pas un bon métier et que ce sont souvent des femmes vulgaires qui nous représentent dans les films. Mais j'aime beaucoup ce métier. D'ailleurs je suis maintenant la chef et je me porte très bien. Les clients ont toujours été très correct avec moi et se comporte comme des gens civilisés. Ce sont même les premiers à me venir en aide si un étranger vient compromettre notre petite routine.

ARIA - Taylor
Ashley Greene je crois :D Caroline quelque chose Owen si mes souvenirs sont bons :D .
Merci & pas de soucis ^^.

SÉBASTIEN - PAULO
Merci

LOUISE - oh Amber *-* je l'avais même pas reconnue sur ton avatar merciii

BLAKE. Elle est parfaite. Garde-moi un lien, et j'aime beaucoup ton pseudo. BIENVENUE.

merci beaucoup à vous y'a que des gens beaux par ici